Ethnologue, réalisateur, opérateur images
Baptiste Aubert est un ethnologue et réalisateur indépendant basé à Berne en Suisse. Depuis la fin de ses études à l’Institut d’ethnologie de l’Université de Neuchâtel et son mémoire de master consacré au monde de l’art contemporain à Bichkek au Kirghizstan (What is exactly kyrgyz contemporary art, 2012), il poursuit ses recherches de terrain combinant ethnologie et cinéma. En 2014, il termine pour la Fondation Pro Aserablos le court-métrage Ce qu’on fait de nos peines qui est sélectionné au Festival International du Film Ethnographique de Québec et au festival de la Salamandre à Morges. Ses autres mandats le conduisent à Sion (Mourir à Sion, 2016), à Niamey au Niger (L’Association, 2016) et à Isérables (La vie de tunnel – en production). Par ailleurs, il mène un projet de recherche au long cours sur les restes de l’activité industrielle textile dans la ville de Verviers en Belgique (Fin de mondes – en production). Depuis sa fondation en 2015, il est membre de l’association Recherche Ethnologie Cinéma (aREC).
Parallèlement à son activité de recherche, Baptiste Aubert a travaillé pendant trois ans entre 2012 et 2015 pour Caritas Luzern dans un centre d’hébergement de requérants d’asile, occupant successivement les postes de civiliste, assistant social puis adjoint à la direction.
Filmographie
| Après la ville-usine – (en développement)
| La vie de tunnel – (2017, 28 min. français-bédjuis vostfr) : Fondation Pro Aserablos / aREC.
Projection : Exposition « Souvenirs du Drotché. Le chantier d’Isérables. 1954-1960 ». Au musée d’Isérables.
| Mon oncle est photographe – (2017, 4 min. français sous-titré anglais).
Projection : dès juin 2017 dans l’exposition Chassé croisé du musée des arts et traditions populaires de Haute Saône
| L’Association – (2016, 38 min. français sous-titré anglais) production : APAD et aREC.
| Mourir à Sion – (2016, 3x 3min. français) production : aREC et musées cantonaux du Valais
Projection dans le cadre de l’exposition La mort apprivoisée du musée cantonal d’Histoire du Valais (2016)
| untergetaucht aufgetaucht – (2015, 4 minutes, n/b, français sous-titré allemand) production : berner Beratungstelle Sans Papier
Projections : Shnit Festival Bern (2015), Reitschule Bern, Stattkino Luzern, Kulturbeiz Bâle.
| Ce qu’on fait de nos peines – (2014, 28 minutes) production : Fondation Pro Aserablos et Université de Neuchâtel.
Projections : Festival international du film ethnographique de Québec 2016, ainsi qu’au festival de la Salamandre (Morges, 2016)
| Bio J’espère – (2010, 19 minutes) Film d’études production : Université de Neuchâtel
En tant qu’opérateur images
| Le secret bancaire, un patrimoine menacé – (réalisation Grégoire Mayor et Céline Pernet 2015, 13 minutes) Production : aREC
Projection dans le cadre de l’exposition Secrets du Musée d’Ethnographie de Neuchâtel (2015)